L’éthique chrétienne est différente de toute autre éthique car elle n’est pas formée par une liste incommensurable de lois à respecter comme les 620 lois noachiques des talmudistes, elle n’est point non plus coincée dans un perpétuel conflit dans la dichotomie du bien et du mal. Cette éthique chrétienne, bien qu’elle concerne l’action, ne se préoccupe pas fondamentalement de se focaliser sur les questions éthiques mais elle est focalisée sur la croyance et l’objet de la foi. Ce point est capital car c’est sur la croyance et l’objet de la foi que l’action prend source. L’éthique chrétienne se résume en une seule loi unique qui s’attaque à la source des actes. Cette seule loi unique est: Celui qui croit au Fils, en sa mort, son ensevelissement, sa résurrection le troisième jour, son ascension au ciel, a la vie éternelle; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. Le législateur est Dieu lui même et Il est le juge. Ainsi celui qui croit au Fils, Jésus-Christ a la vie éternelle. C’est dans cette vie éternelle que l’enfant de Dieu fait face à des choix simples et complexes tout au long de sa vie terrestre pour l’amener dans la félicité éternelle. Par le Saint-Esprit qui l’illumine, il s’efforce de prendre les bonnes décisions, de faire les bons choix dans un discernement selon la volonté de Dieu de ce qui est bon, agréable et parfait. Il arrive qu’il fasse de mauvais choix mais le Saint-Esprit le convainc toujours de péché et il se repent. Mais il y a des choix décisifs, importants qui démontrent sa filiation à Dieu. Par exemple, en aucun cas, l’enfant de Dieu adorera la bête, ni recevra la marque de la bête, ni le nombre, ni le nom de la bête. Dans ces temps périleux, ceux qui croient au Fils se comprennent et ont presque les mêmes réponses face aux grandes questions morales bien qu’ils aient quelques différences mineures et ceux qui ne croient pas au Fils se comprennent et ont presque les mêmes réponses face aux grandes questions morales avec quelques différences mineures. L’antagonisme qui existe entre les deux groupes est fondamentalement lié à la croyance au Fils. Et dans l’Église, il y a ces deux groupes, ceux professant Jésus-Christ de manière véridique et ceux qui disent professer Christ mais qui en vérité ne le professent pas. Dans ces temps périleux, Dieu est en train de faire la séparation entre l’ivraie et le blé. Par de nouvelles questions éthiques que Satan envoie, deux groupes se forment dans les églises. Par exemple, ceux qui sont pour l’injection de la fameuse concoction et ceux qui sont contre. Le problème ne se trouve pas au niveau de l’information sur la fameuse concoction, le problème se trouve au niveau de l’acceptation et de la compréhension de l’évangile proprement dit. Lorsque tu diras à l’insensé de faire un choix et que tu lui as beau expliqué les conséquences des options à choisir devant lui, il fera toujours le mauvais choix puisqu’il est incapable de discerner ce qui est bon, agréable et parfait. Et c’est Dieu qui est le juge de l’unique loi de l’éthique chrétienne. Dieu seul au dernier jour dira à certains je ne vous ai jamais connus c’est à dire vous n’avez jamais cru au Fils, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité et à d’autres entrez dans la joie de ton maître, bons et fidèles serviteurs. Ainsi nous pouvons affirmer que l’éthique chrétienne est l’évangile. Le bien absolu pour l’homme est de croire au Fils, en sa mort et sa résurrection pour son salut. Le mal absolu pour l’homme est de ne pas croire au Fils. C’est à partir de ce bien absolu que dérivent tous les autres biens. Celui qui a cru au Fils, vit éternellement. Celui qui n’a pas cru au Fils, meurt éternellement.
Maranatha!!! Viens Seigneur Jésus!!!
Votre commentaire